Jardiner autrement n’est pas une utopie. C’est possible

Voici la démonstration qu’il est possible de faire autrement.

Au travers de ces deux vidéos, un jardinier nouveau nous explique que ce n’est pas une utopie de pouvoir rendre ses lettres de noblesse à notre mère nature.

Il nous remplit plein d’espoir pour l’avenir.

Tous ceux qui ont commencé à cultiver je leur dis:
Ne baissez pas les bras.
Votre travail ne va pas tarder à porter ses fruits.

Et aux autres qui hésitent à franchir le pas je leur dis:
Venez rejoindre tous ces jardiniers qui ont compris qu’il est possible de faire de la culture naturelle en s’adaptant à la nature qui, soyez-en sûr vous le rendra au centuple.

Alors, plus d’hésitations, lancez-vous !!

Il y a quelque temps j’ai mis en ligne un autre article qui complète très bien celui-ci.

Pour mémoire il s’agit de la publication
Les futurs nouveaux paysans: L’impossible peut devenir possible 


Je me dis souvent « c’est tellement logique de changer la manière de cultiver et d’observer la nature différemment ».

Malheureusement, je m’aperçois que beaucoup ont encore du mal à changer leurs habitudes (abandonner par exemple un peu de leur confort).

Ce n’est tout de même pas la mer à boire.

L’enjeu est phénoménal.

Manger mieux avec moins de travail et donc moins de fatigue ça permettrait que la nature, sa flore et sa faune fassent le reste à notre place pour notre plus grand bonheur.


Merci Claudia du site Entresoi pour les deux vidéos ci-dessous.
N’hésitez pas à visiter son site. Merci pour elle.




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11 réflexions au sujet de “Jardiner autrement n’est pas une utopie. C’est possible”

  1. Puisse ceux qui en ont les moyens t’écoutent Jean-Claude. Pour ma part, je valide pleinement tes propos. Ils sont très justes et d’une logique qui n’est plus à démontrer.

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  2. Au niveau du jardinier, une grande évolution est en marche car de plus en plus de personnes se tournent vers le bio et sa culture.
    Au niveau des agriculteurs, ce sera plus difficile car les anciennes traditions culturales sont encore trop ancrées. Mais ayons confiance en la génération montante qui s’interroge sur la façon la plus correcte et rentable de faire de la culture. Elle se tourne vers le bio et s’accroche à des cultures de niches et de spécialités. Ce n’est pas demain la veille de cette mutation mais il y a de l’espoir dans l’air !!!

    Répondre

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